Respire s’oppose à la publicité commerciale dans l’espace public, et au dogme de la croissance économique infinie sur une planète aux ressources limitées. Respire propose des actions, des réflexions et des pistes de solutions pour contribuer à sortir du monde de la consommation et de la dépendance infinies, afin de retrouver les chemins de la liberté et du bien-vivre.
« La SNCB doit démonter ses publicités dans les gares » titre le journal L’Echo ce 31 août 2016. Les citoyens ont-ils gagné une bataille contre les ogres du lavage de cerveau à large échelle ? La démocratie a-t-elle enfin produit un effet tant attendu de libération de l’espace public de la publicité commerciale ? La SNCB, dans un éclair de lucidité, a-t-elle pris la décision de se défaire de sa propre PUBtrfécation, consciente qu’elle peut redevenir une entreprise qui se trouve du côté des solutions face à la crise écologique ? Les martiens ont-ils envahis Bruxelles ?
Nous demandons l’arrêt intégral de la bétonisation de l’ensemble des jardins, potagers, terres agricoles et espaces ouverts de la Région de Bruxelles-Capitale ainsi que l’extension des espaces verts dans le plan d’aménagement. Nous demandons également de donner la priorité à la rénovation et à la reconversion des bâtiments vides pour créer des logements, crèches, écoles, etc.
Si la santé est un état d’équilibre entre l’homme et son environnement, l’augmentation spectaculaire de maladies en tous genres, notamment chez les enfants, témoigne de la rupture de cet équilibre. La santé, une affaire qui concerne autant l’individu que la société, est aujourd’hui malade de l’environnement que nous attaquons sans relâche. Comme l’indiquera le Prof. Belpomme, le changement de cap, c’est aussi bon pour la forme !
Monsieur le Ministre d’Etat, Monsieur le Président du Parlement Bruxellois, Monsieur le Bourgmestre, Cher concitoyen, Au cours des années 2007 et 2008, en pleine crise institutionnelle ouverte avec les élections du 10 juin 2007, un « deal », dont aucune trace ne semble disponible, a été négocié entre les communes de Saint-Gilles et Forest, la Région de Bruxelles capitale et le niveau fédéral. Ce « deal » consistait à libérer les fonciers des prisons de Saint-Gilles et Forest en échange de quoi la Région de Bruxelles Capitale devait délivrer les permis nécessaires pour construire la plus grosse prison du pays à Haren. Vous avez joué un rôle déterminant dans ce projet, à tous les niveaux de pouvoirs...
Les recours en justice déjà introduits ont abouti au refus du permis d’environnement et au refus de déplacer les sentiers qui traversent le terrain du Keelbeek. Le dossier a été significativement ralenti, mais il n’est pas encore stoppé.
Les gouvernements fédéral et régional, appuyant le consortium d’entreprises privées Cafasso, s’entêtent.
Ils s’obstinent à réaliser leur projet toxique, ces idéalistes.
Pour pouvoir sauver le Keelbeek, empêcher ce nouveau désastre carcéral, ne pas laisser les partis politiques bafouer la démocratie ni les profits privés accaparer les biens publics, nous avons besoin de votre participation.
Nous avons reçu ce message que nous relayons avec plaisir : "Vous trouverez ci-après le Communiqué qu’une action revendiquée par notre équipe des TTIP GAME OVER qui a été mené cette nuit à Schuman. Ce n’est qu’un début !"
Ce 1er juin 2016 est marqué par la tenue de deux commissions de concertation relatives à des espaces verts menacés : le Keelbeek à Haren et l’hippodrome d’Uccle-Boitsfort. Rendez-vous donné par le forum jardinier à 9h devant le Théâtre du Grand Casino Brussels « Viage », boulevard Anspach 30 à 1000 Bruxelles !
Derrière la situation actuelle dans les prisons, c’est le système carcéral et la politique répressive qui, structurellement, sont en crise.
Les prisons sont en état d’apoplexie. La plateforme soumet des propositions urgentes au Conseil des ministres pour sortir du désastre carcéral.
Après, entre autres, une longue occupation du terrain, une expulsion illégale, des débuts de travaux illégaux, une mobilisation citoyenne, associative, académique et des magistrats... Après des projets alternatifs, de multiples interpellations auprès des politiques, plusieurs commissions donnant l’illusion d’écouter les citoyens, des recours en justice ayant abouti au refus du permis d’environnement et au refus de déplacer les sentiers qui traversent le terrain du Keelbeek, ... une nouvelle étape décisive commence, qui appelle une réaction massive et déterminée.